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Pottins de stars & stress

Tu n’es pas le seul à vivre du stress !

kendall jenner 

Emma stone

 

Pour plus de détails : https://www.msn.com/fr-ca/divertissement/celebrite/stress-et-anxi%C3%A9t%C3%A9-les-stars-victimes-de-crises-dangoisse/ss-BBJHjJV#image=25

 

Au secours , je ne suis pas « intelligent » ! Du calme,lis cet article !

Puisque c’est la saison de la rentrée scolaire et du sérieux au travail, voilà un bon moment pour exercer son intelligence. Contrairement à une idée longtemps reçue, être intelligent ne consiste pas juste à bien parler, écrire ou compter. Il y a 20 ans, le psychologue Howard Gardner en a révélé huit facettes que nous possédons à plus ou moins de hauteur. Lesquelles sont les plus fortes chez vous ? Lesquelles aimeriez-vous voir grandir ?

1. L’intelligence verbale

Aimer lire, écrire, parler, faire des mots croisés, des jeux de mots, apprendre une langue étrangère, tout cela révèle une forte composante de cette forme d’intelligence. Si vous aimez raconter des histoires et en lire, si vous prenez plaisir aux discussions et aux conversations, si vous exprimez votre pensée avec aisance, vous voilà verbalement intelligent. C’est valorisé à l’école.

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2. L’intelligence logico-mathématique

Aimez-vous savoir comment fonctionnent les choses ? Aimez-vous compter, résoudre des problèmes mathématiques, les échecs, les dames et les jeux de stratégie ? Alors, vous avez un esprit mathématique. Vous aimez classer les choses par catégorie, créer un ordre (même quand on n’est pas trop sûr qu’il y en a un), vous voyez clairement les causes des événements, alors sachez que tout cela révèle une intelligence logico-mathématique. Être fort en ces domaines favorise la réussite scolaire et souvent financière.

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Les sons vous appellent-ils ? Vous aimez la musique, vous vous souvenez des mélodies, vous jouez ou avez joué d’un instrument, vous adorez votre nouvelle table tournante et entendre vos chansons préférées est une joie profonde pour vous, alors vous êtes musicalement intelligent. Être chanteur, musicien, « disc jockey », voilà le bonheur sur Terre.

 

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4. L’intelligence corporelle

Pour cette forme d’intelligence, on utilise aussi le mot « kinesthésique », qui signifie une sensibilité et une conscience du corps et des mouvements. Quand on apprend facilement en bougeant, on est kinesthésique. La plupart des personnes kinesthésiques sont sportives. Vous bougez sans arrêt (on vous l’a beaucoup dit), vous aimez courir, vous êtes toujours prêt à vous mettre en mouvement ? Alors, vous avez une intelligence corporelle. C’est aussi vrai si vous aimez coudre ou faire de la menuiserie, donc si vous êtes manuel, et si vous imitez les gens avec un certain talent. Il est certain que cette tentation de bouger est parfois dure à vivre sur les bancs d’école ou dans un bureau.

 

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5. L’intelligence visuelle et spatiale

Aimez-vous les casse-têtes, les dessins, les peintures, les sculptures, les diagrammes et les croquis ? Aimez-vous le cinéma, les images et toutes les représentations visuelles ? En tirez-vous un plaisir doux ? Eh bien, vous êtes spatialement et visuellement intelligent. Vous visualisez facilement les choses dans votre tête, vous aimez contempler une église, un musée, un lieu magnifique que les hommes ont construits. Tout cela fait partie de l’intelligence spatiale et visuelle.

 

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6. L’intelligence naturaliste

Quand on aime les animaux, les fleurs, les plantes, les roches, les montagnes, l’eau et qu’on se consacre à la connaissance de la nature, on possède ce type d’intelligence. Lorsque Howard Gardner a pensé à cette théorie des intelligences multiples en 1983, il a oublié cette forme d’intelligence. L’idée lui en est venue plus tard, en 1996. Évidemment, les gens qui s’intéressent au rôle de l’environnement sont forts en cette matière.

 

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7. L’intelligence interpersonnelle

C’est l’intelligence des politiciens (qui sont bons), des psys et de tous les gens attentifs aux autres. On coopère bien quand on a une forte composante de cette intelligence, on maintient ses relations, on peut négocier, concilier, guider les autres, voire les mener. Si vous êtes facilement ému par ce que les gens vivent et si vous croyez en votre for intérieur que ce qui compte vraiment, ce sont les relations qu’on établit entre nous, alors vous êtes fort en intelligence interpersonnelle.

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8. L’intelligence intrapersonnelle

Quand on est « intrapersonnellement » intelligent, on excelle à s’organiser. On connaît ses processus d’apprentissage, on analyse ses forces et ses faiblesses avec justesse, on est au clair avec ses peurs et ses émotions. Les gens qui planifient bien leur vie et leur avenir possèdent ce type d’intelligence. Si vous atteignez vos objectifs, si vous appréciez la solitude (votre compagnie), vous possédez cette intelligence.

Évidemment, on pourrait repérer une seule forme d’intelligence et se dire « voilà mon intelligence à moi ». Mais la vie est complexe et nous possédons au moins trois de ces formes d’intelligence. Sans compter qu’on peut toujours hausser le niveau de certaines facettes dans lesquelles on ne brille pas. Personnellement, cette année, j’aimerais bien développer la naturaliste, en apprendre un peu plus sur la faune et la flore.

 

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Et toi quel est ton type d’intelligence,si tu en as plusieurs, fais-nous en part 😉

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Le stresse touche t-il seulement l’homme?

Et non, le stresse est un phénomène tout a fait normal qui touche autant l’homme que les êtres vivants:

On parle de stress, d’anxiété et de déprime chez l’Homme mais nous ne sommes pas les seuls à en souffrir. Les animaux en souffrent également.

Ainsi, les animaux sont capables d’anticiper une situation, de stresser et d’être anxieux vis-à-vis de celle-ci.

Un animal a peur de notre main qui bouge vivement mais il peut aussi avoir peur de ce que représente celle-ci. Et comme un souvenir qui resurgit du passé, l’animal sera anxieux de notre éventuelle colère, de notre éventuelle perte de contrôle.

On accuse souvent les animaux de simuler, de faire du cinéma… Et s’il n’en était rien ? Et si nos animaux nous exprimaient à travers leur attitude leur crainte vis-à-vis d’un événement qui pourrait avoir lieu ?

Tous les animaux sont capables de ressentir le stress et l’anxiété… même les invertébrés.

Ainsi, les crevettes, les insectes et autres invertébrés seraient capables de prédire une action éventuelle et de stresser vis-à-vis de celle-ci.

Nous avons encore beaucoup à apprendre des animaux, nous ne comprenons aujourd’hui que peu de choses sur leurs idées, leurs caractères et leurs motivations.

Mais ce qu’il y a de certain, c’est que les animaux sont bien plus complexes que certains voudraient bien le dire… et que la simple notion « d’action-réaction » mécanique ne s’applique pas aux animaux.

source:http://www.techniquesdelevage.fr/2014/07/le-stress-chez-les-animaux.html

 

L’art thérapie

Les thérapies alternatives aux médicaments sont de plus en plus populaire dans les médias.

Le site Anxiété.fr propose l’art-thérapie comme psychothérapie. Il s’appui sur une étude ayant découvert que les niveau de cortisol était inférieur après l’art-thérapie dans 75% des cas.

Plusieurs autres sources appuie ce type de thérapie et y voient des bienfaits. Par exemple:

Esprit BD, un blogue traitant de la santé par l’art,

Le Centre de thérapie de Montréal

et

L’institut Universitaire en santé mentale de Montréal

pour ne nommer qu’eux!

Allez! Sortez crayons et pinceaux!

 

Nos réactions lorsqu’on stresse

Le visage que tu fais quand tu es devant un examen dont tu ne sais pas quoi écrire dans toutes les questions:

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Quand j’y pense le stresse c’est une forme de sport,puisque ça peut nous faire suer .

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Quand tu as plusieurs travaux à faire à la fois ,tu peux te sentir comme ça :

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Le stresse est comme une maladie dormante.Quand on est jeune notre système peut supporter un certain niveau de stresse.Mais il arrive qu’un jour notre corps soit trop usé,et là apparaît des maladies de toutes sortes.

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Il se peut que tu te sentes comme çà en situation de stresse :Tu vivras peut-être de la colère.

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Le stresse n’est pas seulement à l’école.Le stresse est aussi au travail et dans diverses autres sphères de ta  vie.

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Ries autant que tu peux ! J’oubliais ,fais attention pour qu’il n’y ait personne proche de toi ,si tu as de l’eau dans la bouche loool.

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Le savais-tu? Le rire, comme remède anti-stresse? Riez !!! hahaha

Rire pour évacuer le stress

Le rire a plus à proposer qu’une simple détente physique. En effet, rire est une manière ludique et bienfaisante d’explorer ses émotions ou ses blocages. Si nous rions près de 300 fois par jour lorsque l’on est enfant, plus nous avançons en âge, plus nous perdons cette faculté à rire simplement. Laisser place au rire à la place du stress, pourquoi pas ?

Christian Brun

Rire pour évacuer le stress

Je vous engage à vous poser les questions suivantes : à quand remonte votre dernier fou rire ? Voulez-vous retrouver votre rire spontané d’enfant ? Vous regardez-vous dans la glace et riez-vous de vous ? Le rire est une véritable thérapie qui réduit la perception de la douleur, permet un bon fonctionnement du système immunitaire avec tous les bienfaits relatifs à cette fonction primordiale pour notre défense. Il améliore également la fonction respiratoire notamment des asthmatiques, des anxieux et des nerveux et est excellent pour les personnes âgées.

Quand nous sommes très jeunes, on rit environ 300 fois par jour et bien entendu très souvent avec un vrai plaisir mais sans aucune raison véritable. Malheureusement à l’âge adulte, on rit de moins en moins. Certaines personnes ne rient plus du tout voire même s’interdisent le rire tout comme le plaisir.Retrouver notre faculté à rire

Retrouvez plus de conseils et astuces naturopathiques dans Le Grand livre du bien-être au naturel (Eyrolles) de Christian Brun

Le rire et le plaisir sont-ils réservés uniquement aux enfants ou aux inconscients et insouciants ? Pourquoi introduit-on les clowns « thérapeutiques » dans les services hospitaliers ? Les données biologiques changent totalement après une séance de rire (certains hôpitaux disposent de « salles de rire » pour les adultes où ils peuvent regarder des films drôles, lire des livres ou des bandes dessinées ou encore écouter des sketches humoristiques).

En réalité, le rire et l’humour sont deux ingrédients indispensables pour notre santé véritable et ce sont d’excellents antidotes contre les effets négatifs des stress.

Il est bon de se souvenir de l’histoire de Norman Cousins1 qui en a expérimenté les effets bénéfiques en 1964 alors qu’il souffrait d’une spondylarthrite ankylosante (arthrite de la colonne vertébrale), pathologie grave et dite irréversible. Sa technique ? Regarder des films comiques et hilarants (Laurel et Hardy pour ce qui le concerne) et prendre de la vitamine C en quantité importante. Chaque fois qu’il regardait ce genre de films, ses douleurs s’apaisaient pendant 2 heures. Après 6 mois de « ce traitement », la guérison fut l’épilogue.

Les effets du rire naturel sont nombreux. Il augmente le calibre des vaisseaux, ce qui diminue la tension artérielle, il inhibe les tensions musculaires. Il fait augmenter la production de catécholamines et d’endorphines, substances biochimiques sécrétées par l’hypothalamus et participant à la gestion des stress. Il augmente l’oxygénation de nos cellules, il favorise les contractions abdominales. Recette de bonheur pour une meilleure immunité : riez, riez, riez !

source:www.psychologie.com

Ne pas aller à l’université

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Photo de Pixabay sur Pexels.com

L’université semble la seule voie possible pour certains. Il d’agit comme d’un devoir à accomplir sans aucun désir d’étudier aussi longtemps. Est-ce qu’il y a quelque chose de mal à ne pas vouloir se rendre au baccalauréat? Est-ce que l’université est vraiment pour tout le monde?

L’université n’est pas la seule voie qui existe. Voici un article d’Urbania proposant de considérer d’autres options.

Ça ne fera même pas de toi une moins bonne personne! La fabrique crépue propose un éditorial sur le sujet qui est aussi un témoignage de l’auteur.

Si tu considère aller à l’université parce que c’est la voie à suivre, il te reste peut-être de la réflexion à faire sur le sujet!

Anxiété de performance

L’anxiété de performance est de plus en plus commune dans la société. Les manière d’évaluer les étudiantes mettent l’emphase sur la compétition.

Radio-Canada a fait un article sur le sujet, il comprend les témoignages de plusieurs jeunes. Peut-être certains se reconnaîtrons dans les paroles de ces adolescents.

Tel-jeunes reconnait aussi la présence de cette problématique. Cet organisme explique de quoi il s’agit et donnes des conseils pour mieux vivre avec dans cet article.

Bien sûr, il est possible de communiquer avec Tel-jeunes pour du soutien en tout temps.

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Photo de Pixabay sur Pexels.com

Mon enfant du primaire ne vit pas de stress! Faux, soyez alerte !

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Photo de Frans Van Heerden sur Pexels.com

Votre enfant est angoissé et stressé à l’approche d’un examen ou d’une compétition sportive? Se pourrait-il qu’il vive un trop gros stress de performance?

On ne cherche pas à qui la faute, mais on essaie plutôt de l’aider. Voyez comment.

On les croyait à l’abri du stress? Eh non! Les enfants en sont aussi de petites victimes. Mais qui dit petites victimes ne veut pas dire petite douleur. Vivre un stress chez un enfant peut avoir des répercussions sur diverses facettes de sa vie et de ses relations.

On n’a qu’à regarder l’agenda souvent ultra chargé des enfants, entre l’école, les activités parascolaires et les cours du samedi matin, et on est parfois essoufflée. Un BlackBerry avec cela? Et quand on regarde leur sac à dos qui déborde de chaque côté de leur corps frêle, on a du mal à ne pas grimacer de douleur. Autant comme image que dans la réalité, une question nous taraude : en mettons-nous trop sur leurs petites épaules?

« On a tendance à minimiser l’effet d’événements qui semblent mineurs aux yeux d’un adulte, mais qui peuvent occasionner beaucoup de tension chez l’enfant. Ces petits facteurs de stress qui se répètent de façon insidieuse peuvent mener à la catastrophe s’ils ne sont pas reconnus ni désamorcés », explique-t-on dans une brochure fort instructive de l’Association de santé mentale de Chaudière-Appalaches.

L’école, les parents, alouette!

Dans certains milieux, les enfants sont poussés par leurs parents ou d’autres membres de la famille à pratiquer une activité (sportive ou culturelle), et ce, sans avoir démontré un intérêt particulier pour cette discipline. Plus encore, ils ne sont pas simplement encouragés à participer, mais bien à gagner…

 

Même chose à l’école, il n’est pas simple pour un enfant d’arriver en classe et de s’apercevoir que l’attention de l’adulte en poste doit être partagée entre une vingtaine d’enfants. S’il était habitué d’être louangé à la maison pour ses moindres gribouillages, il peut trouver difficile de voir que d’autres enfants réussissent mieux que lui.

La compétition et la discipline provoquent souvent un stress important chez l’enfant. Si, en plus, les parents le poussent à performer et à n’avoir que des résultats exceptionnels, il va s’en dire que la situation s’envenime.

Le stress peut être bon ou mauvais. On peut parler de stress positif quand il est un moteur pour s’améliorer dans un esprit de saine compétition, mais devient négatif quand il est si pénible qu’il diminue même les performances à cause de ses effets néfastes.

Une clé efficace pour contrer le stress de performance : accorder autant d’importance aux efforts qu’aux résultats. N’oubliez jamais que votre enfant, peu importe son niveau académique ou sportif, aura toujours besoin de vos encouragements. C’est un moteur puissant pour lui.

Comme parents, on doit détecter ces signes qu’on en demande trop à notre enfant. Il est correct de « pousser » les enfants à faire toujours mieux, mais sans jamais lui laisser croire qu’on l’aime seulement parce qu’il performe. Bien sûr, la ligne est fine et délicate, mais quand on observe bien notre enfant, on sait quelles limites ne pas franchir. Autrement, on risque de voir notre enfant se laisser gruger par le stress qui peut, malheureusement, mener aussi à certaines formes de dépression.

Réagir… à sa portée!

Les enfants sont comme nous. On ne sait jamais comment on réagit face au stress. Bien souvent, selon l’agent stresseur et la situation, notre réaction diffère. L’enfant peut ressentir de la colère, de la frustration, de l’angoisse, des peurs démesurées, de la tristesse et une chute dramatique de l’estime de soi. Aussi, on remarque que les enfants stressés présentent des tics ou des signes de nervosité (trouble de l’appétit ou du sommeil, difficulté à s’endormir, tics nerveux, teint pâle, etc.)

 

Quoi faire?

Si on se rend compte que notre enfant vit un stress de performance, on doit l’aider. C’est à nous de renverser la situation avec lui.

Il doit savoir qu’on est là pour l’aider :

  • à verbaliser comment il se sent. On l’amène à se confier et à nous dire comment il se sent. De notre côté, on l’écoute sans essayer de trouver des solutions immédiatement. Notre enfant doit sentir qu’il est capable de partager ces confidences sans être jugé. On ne minimalise pas ses émotions.
  • à trouver des façons de réduire le stress. On identifie des stratégies pour favoriser la détente. Aussi, si on remarque que notre enfant est stressé par ses résultats scolaires, il serait aussi bon pour nous d’analyser notre propre rapport à la performance. Pourquoi en demande-t-on autant à notre enfant? Est-ce démesuré? Comment l’encourager à viser haut sans le stresser?

Aussi, il faut savoir que si nous, comme parents, on est stressés, il y a de fortes chances que notre enfant le devienne aussi. Il vaut mieux trouver des façons de gérer notre propre stress. Et se rappeler qu’on a tous besoin d’un peu de lest déjà que notre société roule à un rythme effréné. Sommes-nous capables de préserver nos enfants encore un peu de ce feu roulant? On a déjà peu de moments pour s’adonner à des activités non dirigées, planifiées et encadrées. À quand remonte votre dernière journée de flânerie familiale intensive? Et si on laissait un peu de place à l’improvisation au lieu de vouloir tout contrôler?

 

source:https://www.mamanpourlavie.com/vie-scolaire/problemes/4227-le-stress-de-performance-au-primaire.thtml?page=2